À tous ceux qui croient que les périodes de réchauffement dans la LNH ne peuvent pas offrir [...]
Notre histoire - Le site historique des Canadiens de Montréal
Retour à l'accueil Retour à l'accueil- Canadiens.com
Ce contenu requiert l'installation d' Adobe Flash Player 10
Une surprise de taille
MONTRÉAL | 17 mars 2014

Mettre les pieds dans le vestiaire du Forum de Montréal pour la première fois était une expérience très stressante pour les vertes recrues des Canadiens dans les années 1970. Reprendre le flambeau des Morenz, Richard et Béliveau, chausser les patins de toutes ces légendes, en quelque sorte.
Repêché par le Tricolore en première ronde en juin 1971, Larry Robinson se présente donc au camp d’entraînement de l’équipe l’automne suivant, déterminé à faire ses preuves.
« Je me présente donc à mon premier camp d’entraînement et me soumets à la batterie de tests médicaux avec mes 193 livres… mouillé », s’est souvenu Robinson. « J’avais simplement besoin d’apporter ma paire de patins, mais tout le reste de l’équipement était fourni par l’équipe. Je commence donc à m’habiller pour mon tout premier entraînement avec les Canadiens de Montréal. Je mets mes jambières et il y avait un espace de trois ou quatre pouces entre le bas de celles-ci et mes chevilles. Comme j’étais déjà terrorisé par le simple fait d’être dans ce vestiaire, je n’ai rien dit et je suis allé sur la patinoire ainsi. »
Le tout se déroule sans anicroche si ce n’est d’une mise en échec qu’il a appliquée au vétéran Claude Larose lors d’un match intra-équipe avant de se faire remettre à l’ordre par les plus vieux.
« Heureusement, rien n’est arrivé ! », s’est rappelé Robinson, qui a disputé un total de 1202 matchs à la ligne bleue des Canadiens, un sommet dans l’histoire de l’équipe. « Je n’ai pas reçu de lancer sur mes tibias. Lorsque je suis revenu dans le vestiaire après l’entraînement, Guy Lapointe, qui était assis près de moi, m’a demandé : ‘ Larry, c’est quoi ça ?’. Il avait bien vu que mon équipement était trop court pour moi. Il est allé voir le gérant de l’équipement de l’époque, Eddy Palchak, pour lui dire de trouver des jambières à ma taille. »
Ne faisant pas de plat de ce petit problème d’équipement, la verte recrue a néanmoins troqué son uniforme de joueur de hockey pour enfiler son habit de Sherlock Holmes afin de résoudre la fameuse énigme.
« Je continue d’enlever mon équipement et j’examine de plus près les jambières qu’on m’avait données », de poursuivre Robinson. « Il y avait le numéro 9 inscrit à l’intérieur. J’avais donc porté pour mon tout premier entraînement les vielles jambières du « Rocket », Maurice Richard.
***
VOIR AUSSI
Le veston chanceux
Frapper un mur
En perdre son casque
Parti en 60 secondes
Le pouvoir des fleurs
Par la grande porte
Le train de bienvenue
Trahis par un bâton
Repêché par le Tricolore en première ronde en juin 1971, Larry Robinson se présente donc au camp d’entraînement de l’équipe l’automne suivant, déterminé à faire ses preuves.
« Je me présente donc à mon premier camp d’entraînement et me soumets à la batterie de tests médicaux avec mes 193 livres… mouillé », s’est souvenu Robinson. « J’avais simplement besoin d’apporter ma paire de patins, mais tout le reste de l’équipement était fourni par l’équipe. Je commence donc à m’habiller pour mon tout premier entraînement avec les Canadiens de Montréal. Je mets mes jambières et il y avait un espace de trois ou quatre pouces entre le bas de celles-ci et mes chevilles. Comme j’étais déjà terrorisé par le simple fait d’être dans ce vestiaire, je n’ai rien dit et je suis allé sur la patinoire ainsi. »
Le tout se déroule sans anicroche si ce n’est d’une mise en échec qu’il a appliquée au vétéran Claude Larose lors d’un match intra-équipe avant de se faire remettre à l’ordre par les plus vieux.
« Heureusement, rien n’est arrivé ! », s’est rappelé Robinson, qui a disputé un total de 1202 matchs à la ligne bleue des Canadiens, un sommet dans l’histoire de l’équipe. « Je n’ai pas reçu de lancer sur mes tibias. Lorsque je suis revenu dans le vestiaire après l’entraînement, Guy Lapointe, qui était assis près de moi, m’a demandé : ‘ Larry, c’est quoi ça ?’. Il avait bien vu que mon équipement était trop court pour moi. Il est allé voir le gérant de l’équipement de l’époque, Eddy Palchak, pour lui dire de trouver des jambières à ma taille. »
Ne faisant pas de plat de ce petit problème d’équipement, la verte recrue a néanmoins troqué son uniforme de joueur de hockey pour enfiler son habit de Sherlock Holmes afin de résoudre la fameuse énigme.
« Je continue d’enlever mon équipement et j’examine de plus près les jambières qu’on m’avait données », de poursuivre Robinson. « Il y avait le numéro 9 inscrit à l’intérieur. J’avais donc porté pour mon tout premier entraînement les vielles jambières du « Rocket », Maurice Richard.
***
VOIR AUSSI
Le veston chanceux
Frapper un mur
En perdre son casque
Parti en 60 secondes
Le pouvoir des fleurs
Par la grande porte
Le train de bienvenue
Trahis par un bâton
- Confidentialité
- Foire aux questions
- Pour nous joindre
- Annoncer sur canadiens.com
- Conditions d'utilisation NHL.com
canadiens.com est le site Web officiel du Club de hockey Canadien, Inc.. Les Canadiens de Montréal et canadiens.com sont des marques de commerce des Canadiens de Montréal, NHL, la marque verbale et l'image de la coupe Stanley sont des marques de commerce déposées et les logos NHL Shield et NHL Conference sont des marques de commerce de la Ligue nationale de hockey. Tous les logos et marques de la LNH ainsi que les logos et marques des équipes de la LNH illustrés sur ce site appartiennent à la LNH et aux équipes respectives de la LNH. Toute reproduction est interdite sans le consentement écrit préalable de NHL Enterprises, L.P. Copyright © 2008 Club de hockey Canadien, Inc. Tous droits réservés.
Réalisé par
BlueSponge